y déjà six mois que tu n'es plus et ma douleur est encore aussi cuisante qu'elle n'était au premier jour de ton départ.Je réalise maintenant que j'ai eu de la chance d'avoir été aimée de toi et je ne l'ai pas compris jusqu'à ce jour.
Repose en paix mon mari bien-aimé, j'aspire d'être près de toi afin que notre réunion soit éternelle.
Maryse
(Australie)