Mon beau Yves,
Tu me manques tellement que j'ai constamment mal à mon petit coeur. Aussitôt que je crois être mieux, une pensée me traverse l'esprit et je reviens à la dure réalité de ton départ si soudain ce 13 septembre 2008.
Je sais que tu veilles sur moi et j'espère que tu reposes en paix mon amour. Comme tu le sais sûrement, je trouve la solitude intolérable et je sais que ce n'est pas ceci que tu désirais pour moi et que toi aussi tu souffrais face à la dure réalité de nous quitter.
Je t'aime et je sais qu'un jour nous nous reverrons. La joie de t'avoir connu ne diminue en rien le chagrin de t'avoir perdu.
Continue de veiller sur nous.
Francine
Gatineau (Québec)