J'ai perdu mon mari le 24 juillet 1998 d'un infarctus, alors que j'étais enceinte de six mois.
La douleur est heureusement moins forte avec le temps, mais laisse la place à l'incompréhension d'un décès d'un jeune homme dans la fleur de l'âge (25 ans), surtout d'un infarctus, qui survient souvent chez la personne plus âgée.
Mon fils me remplit de bonheur, il est ma raison de vivre, mon amour.
Durant ma grossesse, je n'ai pensé qu'aux bons moments et non plus à sa mort, ce qui m'a permis de vivre ces derniers mois à peu près normalement.
J'aimerais parler avec des personnes qui ont connu ce drame.
Avec toute mon amitié.
Vanessa
Le Mans (France)