J'ai perdu ma petite maman brusquement d'une maladie foudroyante qui l'a emportée en deux jours. Ma peine est si grande, je ne peux pas croire qu'elle ne reviendra plus nous voir.
Elle nous a fabriqué avec mon papa une très belle famille de 7 enfants, 20 petits-enfants et deux arrières-petits-enfants et nous sommes tous accablés de ce départ si cruel. J'ai l'impression que ce chagrin immense, cette immense blessure, restera à jamais en moi et j'ai besoin de parler de maman pour qu'elle continue à vivre avec nous.
Pour ceux qui liront cette lettre, croyez-moi c'est une très grande blessure de voir partir sa maman, ce gros morceau de vous même. Une maman c'est beaucoup, une maman c'est immense et quand elle s'en va c'est le grand vide et c'est irremplaçable.