Vendredi, 14 mars 2014 10 h 30 : ma vie est devenue un cauchemar sans fin. Un coup de téléphone de la gendarmerie, mon enfant n'est plus. Il avait 29 ans et se rendait à son travail. Un chauffard roulant trop vite nous a ravi sa vie à sa fille de 2 ans, ses 2 soeurs et à moi même, nous laissant un gout amer de souffrance et d'incompréhension.
Chaque matin il me faut sortir du lit pour essayer d'être forte pour ma famille. Ma vie est devenue un mensonge énorme me faisant croire à moi-même et aux miens que ça va, que je tiens le choc. Mais, la nuit venue, je suis seule avec ma souffrance et le sommeil me fuit.
Ma vie est devenue un puits sans fond de tristesse et de chagrin. mes entrailles me font mal du manque de mon petit qui ne reviendra plus. Ma détresse est grande...
Barroisrose-May
(France)
Oui, c'est bien triste de laisser ceux qu'on aime nous quitter
Laura, 24 janvier 2015Penser que demain nous n'entendrons plus leur voix.
Rien n'est plus pareil, ils nous manquent beaucoup.
J'ai perdu neveu, père, frère, mère, beau-frère, amis, amies.
Ce qui est encore le plus difficile c'est de réaliser
Qu'après leur départ, certaines personnes n'ont rien compris, que c'est ce qu'il y a de plus précieux une famille. Merci.