Je viens de perdre, à 36 semaines de grossesse, l'un de mes jumeaux. Malgré la présence de mon adorable Eliot, je souffre affreusement de l'absence d'Enzo. Il n'y a pas un matin, une soirée où je ne pleure pas.
J'ai pu prendre dans mes bras mon Enzo après l'accouchement, mais mon mari et moi-même avons décidé de faire don de son corps à la science afin que notre ange puisse sauver la vie d'autres enfants ; mais aujourd'hui je regrette presque ce choix, il me semble que j'ai abandonné le corps de mon enfant à des inconnus...
Si vous aussi avez vécu un tel drame, merci de m'écrire. Merci d'avance pour votre aide.
Véronique
Paris (France)