Tu aimais la vie, tu aimais les gens, tes yeux riaient.
Malgré la souffrance aujourd'hui, tu pars.
Nous t'accompagnons vers ce dernier voyage.
Nous soutenons tous ceux et celles que tu adorais.
Nous ne t'oublierons pas, nous ne pourrons pas t'oublier.
Adieu Michel, tu restes en nous par la pensée dans notre sœur.

Nous ne trouvons pas les mots, on nous les a volés.
La souffrance est trop grande pour pouvoir l'exprimer.
Tu es parti, tu as pris la clé des champs, le chemin de la liberté.
Et tu nous laisses amères, solitaires et solidaires face à l'immense solitude.

Le vide sera difficile à combler.
Il ne faudra pas pleurer parce que tu n'es plus là.
T'oublier, fermer notre cœur, fermer les yeux, chasser ton souvenir. Laisser tout mourir, se taire avec ta voix.
Non, nous ne le pourrons pas.
Tu resteras un doux souvenir.
Ton regard rieur est gravé dans nos cœurs.

Adieu Michel, salut l'ami.

Marie-France Daubigny
Saint-Maxinin (France)