Il y a de cela maintenant déjà trois longs mois, je perdais mon petit Alexandre, décédé in utero à 40 semaines de grossesse. Comme plusieurs l'ont déjà mentionné, ce qui devait être le plus beau jour s'est avéré le pire cauchemar qu'on peut imaginer vivre (à mon avis). La douleur est insoutenable, mais au moins elle s'apaise un peu avec le temps. Je parle beaucoup à Alexandre, et chaque fois que je pense à lui, j'ai un énorme pincement au cœur.
La vie est parfois très cruelle et on se pose tous la même question : pourquoi nous ? Il n'y a malheureusement aucune réponse. La vie est faite ainsi. Je m'accroche et je me dis qu'on a la chance de pouvoir avoir un deuxième et même un troisième enfant. Même, nous avons un petit ange pour veiller sur ce futur bébé et sur nous.
Bon courage à tout le monde, et ça fait du bien de lire vos témoignages.
Christiane
Montréal (Québec)