Je comprends très bien ce que vous ressentez car j'ai à mon tour perdu un être cher, ma sœur, et j'étais seule avec elle lorsque cela c'est produit. Sa mort est incompréhensible : rupture d'un anévrisme à l'âge de 17 ans. Cela fait quatre ans, mais la douleur est là. J'arrive maintenant à en parler avec des gens sans me mettre à pleurer.
Soyez forts et imaginez qu'ils vous observent, ils n'aimeraient pas vous voir aussi tristes.
Virginie
Marsainvilliers (France)