Qu'il est difficile de cheminer sur les voies du passé où les souvenirs affluent et puis dans ce présent où ton absence est souffrance, dans cet au-delà enfin où mon esprit quémande et t'appelle. Le temps ne veux plus rien dire... Et je ne peux plus lui donner un sens. Qu'est ce qu'un avenir sans l'amour de son enfant ? J'avance pourtant mais mon être chancelle. On m'a coupé l'herbe sous le pied, je ne sais plus où le poser. La planète bleue vire au flou et j'ai mal.
Vous êtes lumière, tous, dans votre monde de sérénité. J'ai envie de vous dire : « Ayez pitié de nous, pauvres mortels ».
Et comme dans les dessins animés que tu aimais tant, petit, Thomas, envoie-nous la Force en un éclair magique et invincible pour que nous puissions continuer droit, tout droit, droit devant !
Florence
Mudaison (France)