Cela fait maintenant 22 jours, en l’espace de 5 minutes tu es tombé j’ai tout fait pour te garder en vie. Nous étions seuls dans le bois, personne ne passait et les secours on pris 1 h 20 avant d’arriver. Je faisais les manœuvres automatiques, tu étais déjà parti. Je souffre parce que je sais que c’est définitif. Tu étais trop jeune, 53 ans.
Mon cœur est brisé, j’ai perdu mon mari, mon amant, mon ami, mon compagnon de voyage, mon plus féroce compétiteur au Scrabble, au toc, en vélo, en cuisine même. Tu aimais tant me taquiner. Je me sens profondément seule. Comment envisager le reste de la vie sans toi mon amour, mon chéri. Tu étais mon roc. Je t’aimerai toujours.
Ta stromphette.
Commentaires (2)
Madame
J'ai pris connaissance ces jours-ci du décès de Monsieur Molari. Je vous présente mes sincères condoléances. Bon courage à vous.
Annick Claudon (j'étais greffier aux Conseil de prud'hommes de Paris)
Bonjour,
Cursi Molari, 15 mars 2022Thierry avait 75 ans. La maladie puis l’opération ont épuisé ses résistances, il est parti le 14 février 2022. Vous employez les mêmes mots que moi pour parler de votre «roc», ami, amant, amour. Notre lieu de vie est empli de son vide. Je ressens votre détresse et y compatis. Nous devons être douces avec nous-mêmes mais combien c’est difficile... et pleurer c’est penser à eux, les remettre à côté de nous, enfin c’est ce que je pense. Bon courage.