Le jour où j'ai appris sa mort, en mai 2001, je me suis sentie responsable. Elle qui ne m'a jamais critiquée, jamais déçue, je ne lui ai jamais dit que je tenais à elle. Tu étais ma deuxième mère.
Elle était très malade. Le matin elle s'est réveillée, comme guérie de sa maladie, mais quelques minutes plus tard, elle était morte.
Elle était seule dans sa grande maison, je ne l'avais pas vue depuis 2 ans. La dernière fois que je l'ai vue, elle était morte, horriblement maigre. Je me souviens de chaque minute de l'enterrement, son cercueil placé à quelque mètres de moi.
Dédée, ma marraine, je t'aime tellement, aucun jour ne passe sans que je pense à toi. Mon cœur est mort depuis ce jour.
Gros gros bisous.
Jenny
Breuillet (France)