Ludovic est parti depuis le 3 décembre et moi, sa maman, je ne veux pas l'accepter. Je pense qu'il va revenir, je ne supporte pas qu'il soit décédé. À 16 ans et demi, on ne doit pas mourir.
Tous les matins je me réveille et je vérifie qu'il n'est pas dans sa chambre et cela fait très mal.
Comment peut on faire pour admettre une telle injustice.
Annie
Langoat (France)