Mon mari bien-aimé est parti à jamais. Tous les matins, je demande à Dieu de me réveiller de ce cauchemar où ma maison est silencieuse et sa chambre est vide; mais hélas ce mauvais rêve est une réalité et j'aurai à continuer à vivre sans lui jusqu'à ma mort. Il y a 3 mois qu'il n'est plus, je lui parle et essaye de me figurer qu'il est là à côté de moi.
J'aspirais à ma liberté morale quand nous étions mariés car il était très persuasif et intense, mais aujourd'hui il me manque tellement. Quant à la liberté morale, je n'en veux plus car sans lui, je meurs. Je n'en peux plus !
Maryse
Melbourne (Australie)