Le 1er septembre dernier, nous avons perdu notre belle puce Andréanne des suites de sa chirurgie cardiaque; elle avait 10 ans. Le matin de sa chirurgie, soit le 30 août, nous l'avons rassurée, que tout ira bien, que nous serons là lors de son réveil. Elle a posé elle-même ses questions au chirurgien et, voilà, l'infirmière vient la chercher. Alors nous lui disons : « Salut Andréanne, à tantôt ». Vers environ 14 h 30, un cardiologue vient nous dire qu'Andréanne n'est plus sous pompe, que l'opération a bien réussi, que le chirurgien est très satisfait de l'opération. Alors nous sommes tous très heureux car nous savions que la chirurgie était difficile.
Dans la soirée, sans avoir vu encore notre Andréanne, un cardiologue et le chirurgien viennent nous dire qu'il y avait des complications majeures et qu'elle mourra. Lorsque nous avons vu notre belle puce nous ne pouvions imaginer son départ, nous lui avons parlé, car elle entendait ce que nous lui disions et nous lui avons dit que nous l'aimions et qu'elle pouvait partir avec les anges.
Deux jours plus tard, le chirurgien vient nous dire qu'il est temps de débrancher Andréanne de la pompe. Lorsque fait, nous sommes allés voir notre amour, nous l'avons pris dans nos bras et nous lui avons répété notre amour.
Depuis ce temps, j'ai peine à croire ce qui nous est arrivé... un mauvais rêve... mais non, elle rentre pas à la maison. Nous avons du mal comme personne ne peut l'imaginer.
Maman, Papa, Catherine qui t'aiment si fort XX
Nathalie
Beauport (Québec)