Papa, je me souviendrai toujours de cette journée du 22 avril 1999, veille de Pâques, pour la seule fois où je ne t'ai pas téléphoné comme à l'habitude... Cette journée-là, il faisait si beau que nous sommes partis, moi et mon conjoint, avec les deux enfants. L'après-midi, maman nous a téléphoné de l'hôpital pour nous dire que tu avais eu un malaise cardiaque. Nous nous sommes rendus à toute vitesse à l'hôpital. Malheureusement il était trop tard, tu nous avais déjà quittés. Quel dur coup cela a provoqué, surtout pour ton petit ange Paméla, elle qui t'aimait tant. Ton toxon, lui, ne comprenait pas trop, mais il criait sans cesse après toi.
Cela va faire bientôt un an que tu es parti. Paméla se fait toujours suivre par un psychologue. Elle n'en est pas revenue encore. Quand à nous, nous avons appris à vivre sans toi, mais crois-moi, c'est très très dur. Tu nous manques énormément.
De là-haut, je te demande de veiller sur nous. Je m'ennuie de toi papa.
Marlene xxxxx
P.S. : Pépère, continue de veiller sur nous comme tu le fais. Nous savons que tu resteras toujours dans notre cœur et dans notre tête. Nous t'embrassons.
Paméla et Samuel xxxxxxxxxxxx