Papa... Il y a onze jours, tu as décidé de partir car tu n'avais plus la force d'affronter la vie.
Tu sais, on s'est toujours engueulés... et la dernière fois, on s'est de nouveaux quittés fâchés. Mais aujourd'hui, même si je sais que tu n'étais pas parfait, je me rends compte que tu étais tout simplement mon papa, celui qui m'a permis de vivre sur cette si belle terre.
Ne m'en veux pas... Je t'aime...
Ta fille Valérie.
Salue bien Chichi et Aïka...
Valérie
(Suisse)