J'ai perdu ma mère le 31 juillet 2022. À la suite d'un avc massif, elle fut transportée à l'hôpital où elle a séjourné 50 jours avant de s'éteindre.
Je ne sais pas ce qu'est l'enfer mais je peux vous dire que je l'ai vécu pendant son hospitalisation. Quasi-grabataire, elle survivait. De ce fait, je sortais anéanti par la douleur. Je pleurais tous les jours et une fois je l'ai inondée de mes larmes. Jamais je ne pourrai l'oublier. Je souhaite la rejoindre le plus tôt possible. Je ne parviens pas à accepter son absence.
Peut-être le temps fera son effet mais je n'en suis pas certain. Pleurer permet d'évacuer un peu la tristesse qui nous accable. Nous savons tous que nos parents ne sont pas éternels. On souhaiterait partir avec eux. Mais nous ne pouvons pas choisir le jour où ils nous quitteront.
Christian
Marseille (France)
Comme je te comprends, j'ai perdu ma confidente, mon âme sœur, la seule personne qui pouvait me comprendre. Mais avant tout c’était ma mère, une mère très dévouée pour ses enfants. Maman est partie trop vite, je n’oublierai jamais son départ, seule, assise dans son fauteuil les poings fermés serrés montrant sa douleur. Crois-moi, un gros choc que j’ai eu.
Gaétane Lirette, 14 octobre 2022Elle est décédée en 2004. Ma mère n’avait que 73 ans, quand même en bonne santé. Dis-toi qu’une maman ça ne s’oubliera jamais. Tout ce qu’il te reste à faire est d’accepter, un bien grand mot et très difficile. J’y pense à tous les jours que Dieu m’accorde la vie.
Alors courage à toi, bonne chance pour l’avenir.