Voilà, tu es parti le 30 août, après un dur et long combat contre cette maladie, contre ce cancer au visage.
Moi aussi, je me sens un peu soulagée de savoir que tu ne souffres plus tant physiquement que psychologiquement. Toi qui étais bel homme, tu as dû endurer 1 an et demi de traitements divers, 1 an et demi d'angoisse, d'incompréhension envers ce qui t’était arrivé.
Nous nous sommes souvent chamaillés pour des choses qui n'en valaient pas la peine ! Mais je me sens si vide depuis ton départ, si triste et si seule. Ce qui est normal quand on subit un deuil.
Je vais me coucher. Je t'embrasse et je souhaite bonne nuit comme quand tu étais là.
Isabelle
Belgique